Voici un pantoum malais, c’est le « poème du bateau », Syair perahu, en écriture rencong ; ce manuscrit appartient à la British Library.
Nous ne sommes pas loin du poème de Baudelaire, Harmonie du soir.
Chemins entre les branches.
Voici un pantoum malais, c’est le « poème du bateau », Syair perahu, en écriture rencong ; ce manuscrit appartient à la British Library.
Nous ne sommes pas loin du poème de Baudelaire, Harmonie du soir.
Marie C
[Marie a 8 ans ½. Elle a découvert une édition de Près du grand érable de Malika Doray (dans la série Loulou & Cie de « l’école des loisirs »), pour un enfant plus petit qu’elle. Aussitôt elle a réalisé les dessins que vous voyez, qui racontent une histoire de son invention. BC]
Je voulais, au début de ce blog, saluer le 1er mai.
Je voulais une image pour ce jour. En voici une. Elle a presque un siècle. Bien des choses ont changé, en particulier là où ça se passe…
Il y a peu de temps, dans la catégorie « gat amagat » du blog, où l’on trouve des billets en langue catalane, j’ai donné le titre « Xèspir » à un article sur l’artiste Miquel Clivillé (1897-1943). Regardez-le. Indépendamment du texte, les illustrations valent le détour. Aujourd’hui nous resterons un peu sur son « Saint Prolétaire », paru à Barcelone dans Poble Nou Revista le 1er mai 1926.