On croit connaître ce poème.
Il est si souvent cité ; on le lit rapidement et c’est fini.
On s’attarde plutôt sur l’admirable bois de Dufy.
Comme l’animal, si fréquent, que l’on gratifie d’une caresse, sans le regarder et absorber sa beauté.
Chemins entre les branches.
On croit connaître ce poème.
Il est si souvent cité ; on le lit rapidement et c’est fini.
On s’attarde plutôt sur l’admirable bois de Dufy.
Comme l’animal, si fréquent, que l’on gratifie d’une caresse, sans le regarder et absorber sa beauté.