[Pour marquer ce jour, j’emprunte une image québécoise. Voyez aussi le site de l’UNESCO.]
Xèspir
Avui és la diada de Sant Jordi i també l’aniversari oficial del naixement de Shakespeare.
Per un dels primers articles del « gat amagat », vull dir unes paraules sobre l’home que firmava ironicament « Xèspir » en la Revista de Poble Nou, als anys 20 del segle XX.
El seu nom és Miquel Clivillé (1897-1943).
Qui écrit ?
En général, celui qui écrit, c’est moi (voir le précédent billet dans cette catégorie). Mes lignes sont parfois signées avec les initiales BC, mais ce n’est pas systématique. Si un autre intervient, cela sera clairement indiqué. Faut-il parler de copyright ? Évitons les grands mots, mais hélas…
L’expérience montre que les blogs sont pillés, sans respect pour la propriété intellectuelle. Il y a ce copier/coller, toujours détectable, et aussi ces emprunts d’idées, jamais reconnus.
primer miol
Un diccionari dirà que l’expressió gat amagat significa escolta i amenaça secretes, dissimulades, ocultes.
Rés d’aixó aquí.
La corbeautière d’Amboise
C’est mon po
C’est mon po – c’est mon po – mon poème
Que je veux – que je veux – éditer
Ah je l’ai – ah je l’ai – ah je l’aime
Mon popo – mon popo – mon pommier
Oui mon po – oui mon po – mon poème
C’est à pro – à propos – d’un pommier
Car je l’ai – car je l’ai – car je l’aime
Mon popo – mon popo – mon pommier
feuilles de papier, paysages
Ces jours-ci, ouvre à Tours le centre Olivier Debré, (CCC OD). Il a été inauguré le 11 mars 2017 par la Reine de Norvège et le Président de la République. On en parle beaucoup ; voyons ailleurs.
Non loin de là, une petite galerie a exposé, depuis le début du mois de mars, les œuvres sur papier d’Olivier Debré. La Nouvelle République en a parlé, voyez l’article si vous voulez.
Dans ce petit espace, c’est un éblouissement. Tout est là. Et il y a quelque chose d’un paradoxe.
Consert de différents oyseaux
Nous écoutons cet air. Le luth, d’abord hésitant, nous entraîne. Il y avait un ballet dont c’était le début. Peu importe si rien ne bouge devant nos yeux, nous sommes pris par la danse. Étienne Moulinié (1659-1676) a choisi ce texte que l’on attribue à son contemporain, Salomon de Priezac, Sieur de Saugues :
Il sort de nos corps emplumez
Des voix plus divines qu’humaines
Qui tiennent les soucis charmés
Et font dormir les peines
Nous vous appellons à tesmoins
Que si nos voix font des merveilles
Nos luths ne pénètrent pas moins
Les coeurs que les oreilles
Vouvray chante
Dans l’opérette Les mousquetaires au couvent, l’action se déroule à Vouvray. Le village de ce nom, situé en Indre-et-Loire, n’a jamais eu de couvent. Il est vrai, nous sommes dans un 17e siècle de fantaisie, et il y a d’autres Vouvray, et surtout c’est le chant qui compte. Naguère (c’était le 1er décembre 2010), dans le blog “Lire à Vouvray “, j’en avais parlé.
Mais ici, ce n’est pas un lieu, mais un personnage qui porte ce nom. Continue reading “Vouvray chante”
Trouvé à Marchmont Street
Ça brille dans le soleil. Qu’est-ce que c’est ? Et il y en a d’autres. Comme un chemin qu’il faut suivre. Les villes nous ont appris des parcours marqués par des symboles peints ou inclus dans le ciment. Nous sommes à Londres, mais il ne s’agit pas de la Jubilee Walk : c’est beaucoup plus beau, et plus discret. Ici, il s’agit d’enfants abandonnés et le chemin ne mène nulle part. Continue reading “Trouvé à Marchmont Street”